Santé - Page 14

  • APF France Handicap solidaire avec les salariés des établissements médico-sociaux dans le champ du handicap

    Vu dans l'Echo Républicain

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    Le Collectif Handicaps (auquel appartient APF France Handicap) ne peut accepter que les personnels des établissements sociaux et médico-sociaux dans le champ du handicap soient exclus des mesures de revalorisation salariales, malgré les demandes répétées des associations d’élargir les discussions faites dans le cadre du Ségur de la Santé.

    Cette situation entraîne un déséquilibre de traitement important entre des secteurs qui ont pourtant tous fortement participé aux efforts de la Nation pendant la crise sanitaire. Une injustice d’autant plus flagrante que la crise sanitaire est loin d’être terminée. Les tensions sont fortes pour recruter des professionnels en raison de la perte d’attractivité des métiers liés au handicap. Nos associations nous font déjà part de difficultés de recrutement, les professionnels préférant aller vers des emplois dans le sanitaire ou en EHPAD, créant ainsi des pénuries de professionnels dans le secteur ESMS handicap.

    Le Collectif Handicaps propose aux parlementaires de demander au gouvernement d’engager entre les deux lectures une négociation avec les professionnels du secteur. Les débats devant permettre tant en commission qu’en assemblée d’obtenir un tel engagement : tel est l’objectif de l’amendement ci-dessous que propose le Collectif Handicaps.

    Amendement proposé dans le cadre du Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2021

    Le gouvernement dépose au Parlement un rapport détaillant les conséquences sur l’attractivité des métiers des établissements sociaux et médico-sociaux du Ségur de la Santé et proposant les mesures à prendre pour assurer l’égalité de traitement entre les professionnels.

     

     

  • Employeurs handicapés : 10 masques gratuits par semaine pour les auxiliaires de vie

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    Les aides à domicile des particuliers employeurs handicapés ont droit à une dotation gratuite de 50 masques chirurgicaux par période de cinq semaines. À retirer en pharmacie, sur pièces justificatives. 

    La pénurie de masques n’est plus qu’un mauvais souvenir. Les particuliers employeurs en situation de handicap peuvent en trouver facilement pour en équiper les aides à domicile qu’ils emploient. Mais cela pèse sur leur budget.

    Leurs salariés ont toutefois droit à une dotation gratuite. À hauteur de 50 masques chirurgicaux par période de cinq semaines, comme le précise l’arrêté du 26 octobre. Sous réserve qu’eux-mêmes, employeurs, soient titulaires de :

    – la prestation de compensation du handicap (PCH),

    – l’allocation compensatrice pour tierce personne (ACTP),

    – l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH),

    – de la majoration pour tierce personne (MTP),

    – ou d’une carte d’invalidité à 80% ou d’une carte mobilité inclusion (CMI).

    Informés par un courrier de l’Urssaf

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  • En Eure et Loir, l'UNAFAM soutient les familles de personnes atteintes de troubles psychiques

    Vu dans l'Echo Républicain

    dsc-0146_4972009.jpegEn Eure-et-Loir, l’Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (Unafam) s’emploie à aider l’entourage d'hommes et femmes vivant avec une maladie psychique.

    Accompagner, aider, conseiller. Ce triptyque suit l’Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (Unafam) depuis la création de l’association en 1963.

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  • Programme des journées SEP du 16 et 17 Octobre 2020 - Dernières inscriptions avant le 06/10

    programme des journées SEP.JPGCliquez sur l'affiche ci-dessus pour connaitre le programme

     

    Dernières infos du 5/10 :

    Nous voici sur la dernière ligne droite avant les journées SEP 28.

    Donc finalement, les journées SEP 28 / 2020 se dérouleront en présentiel à Lèves, comme prévu initialement.

    En outre, nous diffuserons quelques interventions en visio "en live"et quelques enregistrements partiels ultérieurs sur notre site internet.

    Nous prendrons toutes les mesures liées au contexte sanitaire.

    Si vous souhaitez venir mais n'êtes pas encore inscrit, merci de nous en faire part rapidement. Nous devons connaître les effectifs exacts et avoir les noms des personnes présentes (dont organisateurs). Date limite : vendredi 9 octobre.

    N'oubliez pas de préciser si vous souhaitez un repas au prix de 10€.

    Concernant les stands, nous aurons la présence de l'APF, des labos teva et roche et de 3 distributeurs de matériel médical (handipharm, districlub et bastide). Si d'autres souhaitent disposer un stand, nous devons également en avoir connaissance pour organiser les espaces dans le respect des consignes sanitaires.

     

  • 5e branche autonomie : un rapport propose d’économiser 400 millions par an sur l’AAH

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    Commandé par le gouvernement, un rapport sur la 5e branche recommande d’intégrer l’AAH dans cette nouvelle caisse de la Sécurité sociale. Et de mieux contrôler l’attribution de cette allocation pour faire des économies et contribuer à financer le risque autonomie.

    Comment financer la 5e branche de la Sécurité sociale, cette nouvelle caisse consacrée à l’autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées ? En faisant des économies sur l’allocation adulte handicapé (AAH), avance Laurent Vachey. Cette piste figure, noir sur blanc, dans le rapport que le haut fonctionnaire a remis au gouvernement, le 14 septembre. Avec de nombreuses autres, car l’objectif est de dégager 3 à 5 milliards de recettes à l’horizon 2024.

    Des économies représentant 3,5 % de l’enveloppe AAH

    « Un objectif de régulation de la dépense d’AAH par la nouvelle branche pourrait être proposé, à hauteur de 400 M€ en tendanciel d’ici à 2024 », écrit l’inspecteur des finances. Il fixe même le calendrier de cette « mesure d’économie ». 100 millions en 2022, 200 en 2023, 300 en 2024, puis 400 chaque année. Soit environ 3,5 % de l’enveloppe annuelle AAH de 10,6 milliards

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  • Le dispositif "Du répit à domicile pour les aidants"

    Le projet « Du répit à domicile pour les aidants » permet de mettre en place un moyen de garde ponctuel pour offrir un temps de répit à l’accompagnateur de la personne en situation de handicap.

    Ce temps permet de recentrer du temps pour le dédier aux sorties du quotidien (aller à la banque, rdv chez le médecin, etc.) mais également pour faciliter les démarches d’insertions professionnelles de l’accompagnateur.

    Ce dispositif est destiné aux familles en précarité financière (revenu global du foyer inférieur à 1100€ avec les aides financières caf, etc.) et dont l’un des membres est en situation de handicap.

    Le soutien de l’AMP est un dispositif gratuit sous réserve d’adhésion aux PEP 28.

    Pour plus de renseignement vous pouvez joindre Aurélie GRAVILLON au 02.37.88.14.14 ou par mail responsableprojet@pep28.asso.fr

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  • Masques gratuits pour les personnes en situation de précarité

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    Chaque bénéficiaire :

    • de la Complémentaire santé solidaire,
    • d'un contrat ACS,
    • Ou de l'Aide Médicale d'Etat,

    va recevoir par La Poste six masques grand public (lavables 30 fois).

    Pour un même foyer seront reçus autant de courriers contenant chacun six masques que de membres composant le foyer.

    Les envois sont réalisés au cours du mois d'août.

    Si certaines personnes venaient à s’étonner de ne pas avoir reçu de masques à la fin du mois d’août alors qu’elles sont concernées par l’opération, elles sont invitées à contacter le CCAS ou le CIAS de leur lieu de résidence : il leur fournira des masques ou les orientera pour les obtenir.

  • Les taux d'incapacité sont de plus en plus abaissé entrainant une multitude de conséquences dont la baisse des revenus

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    Taux d’incapacité abaissé, revenus diminués : qui sont les déclassés du handicap ?

    Bruno G. a vu son taux d’incapacité ramené à moins de 80 %. Idem pour Hubert Nkandza. Le premier a alors perdu 100 € d’AAH ; le second, sa majoration pour la vie autonome d’un montant de 104 €. Le signe d’une politique d’attribution plus restrictive ? 

    Le sort de Bruno G. n’a tenu qu’à un coup de fil. C’était en novembre 2017, quelques semaines avant l’arrivée à échéance de son droit à l’allocation adulte handicapé (AAH). « J’ai reçu un appel d’une personne de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), se souvient-il. Elle m’a demandé si je pouvais mettre mon pantalon et manger seul, sans aide. Je lui ai répondu que oui, j’en étais capable. Elle m’a alors averti que mon taux d’incapacité allait passer de 80 % aujourd’hui à 50 à 79 % demain. »

    Une décision sans fondement médical

    Une surprise pour ce Niçois de 56 ans, atteint de spondylarthrite, une inflammation chronique des articulations. « J’ai des douleurs permanentes qui limitent mes mouvements, explique cet ancien menuisier-ébéniste, contraint d’arrêter de travailler.

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