Les douze membres du groupe jeune de l'APF Centre-Val de Loire ont monté le projet "Une pause pour nos mamans". Pour le financer, ils ont créé des calendriers qu'ils ont ensuite vendu. C'est une photographe d'Orléans, elle même en situation de handicap qui a réalisé les clichés en noir et blanc, où l'on retrouve ces douze jeunes qui se sont mis en scène. Le but de leur projet est de rendre la vie plus douce aux parents d'enfants en situation de handicap le temps d'une journée. Ils proposent à ces aidants de se relaxer grâce à des massages, des séances de kiné ou encore des bains de boue. Pendant ce temps, les jeunes s'occupent des enfants en situation de handicap. 

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Le Gouvernement a eu recours à une méthode de vote peu respectueuse des parlementaires pour écarter tout risque de voir l’Assemblée nationale adopter la déconjugalisation de l’AAH. À la place, il veut instaurer un nouveau mode de calcul de l’allocation.

Le député communiste André Chassaigne a dénoncé les manœuvres du gouvernement.  « Nous avons l’intention de vous laisser face à vos turpitudes. » Il était près de 13 heures, ce jeudi 17 juin, lorsque le député communiste André Chassaigne, l’un des vétérans de l’Assemblée nationale, a donné le signal du départ. Tous les élus de l’opposition ont alors quitté l’hémicycle. Un coup d’éclat rare. Plus encore lors de l’examen d’une proposition de loi, dont les députés étaient eux-mêmes à l’origine.

Les ressources du conjoint seront toujours prises en compte

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APF France handicap se mobilise pour l'inclusion des enfants en situation de handicap par l'intermédiaire d'une caravane des enfants. (Groupe d'enfants qui partira de Paris et sillonnera différents villes étapes pour faire passer un message fort sur l'inclusion.)   

La question de l'inclusion est un véritable casse-tête aujourd'hui, pour les enfants et leur famille, et une impasse parfois dans la pratique. l 

C'est pourquoi nous organisons une demi-journée sur ce thème : 

• Pour donner de la résonnance à la parole des enfants 
• Pour mettre en lumière les difficultés auxquels ils sont confrontés  
• D'aller à la rencontre d'actions inspirantes, innovantes.  

La délégation APF France handicap d'Eure et Loir organise une demi-journée le 

Jeudi 17 juin de 14h à 17h30, au plan d'eau d'ECLUZELLES à Mézières-en-Drouais

Cette demi-journée d'action est réalisée en partenariat avec le club nautique d'Ecluzelles  . Les jeunes en situation de handicap feront un tour de voilier, il est adapté au handicap moteur. Ensuite les intervenants, les jeunes et les adhérents APF témoigneront sur le sujet de l'inclusion.  

Vu dans l'Echo Républicain

APF France handicap se mobilise pour l'inclusion des enfants en situation de handicap par l'intermédiaire d'une caravane des enfants. (Groupe d'enfants qui partira de Paris et sillonnera différentes villes étapes pour faire passer un message fort sur l'inclusion.)   

La question de l'inclusion est un véritable casse-tête aujourd'hui, pour les enfants et leur famille, et une impasse parfois dans la pratique. l 

C'est pourquoi nous organisons une demi-journée sur ce thème : 

• Pour donner de la résonnance à la parole des enfants 
• Pour mettre en lumière les difficultés auxquels ils sont confrontés  
• D'aller à la rencontre d'actions inspirantes, innovantes.  

La délégation APF France handicap d'Eure et Loir organise une demi-journée le mercredi 16 juin de 14h30 à 17h45, à la salle Saint André à Châteaudun 

Cette demi-journée d'action se présentera sous la forme d'un plateau TV. Cette action prendra la forme d'une suite d'interviews, de témoignages de différentes personnes, de différents milieux professionnels, de différents handicaps...Ce seront les jeunes impliqués dans ce projet qui porteront le micro et le déroulé de la journée. 

Lors de cette demi-journée, nous accueillerons également, M. Verdier maire de Châteaudun et M. Zanon directeur de la fondation Bordas, qui viendront témoigner.

Mesdames, Messieurs les candidats aux élections de conseillers départementaux,

L’association APF France Handicap d’Eure-et-Loir a choisi de vous interpeller sous une forme de lettre ouverte pour vous présenter les enjeux, les problématiques et les attentes essentiels que notre association perçoit autour des politiques locales d’autonomie, de solidarité et de citoyenneté de notre département, compétences majeures des départements, touchant les personnes en situation de handicap (jeunes et adultes), mais aussi les personnes âgées dans leurs vies quotidiennes.

Nous souhaiterions connaître, sur cette thématique, les intentions, les priorités et projets des grandes formations en présence qui souhaitent diriger ce département, ce qui permettra aux électeurs de faire des choix éclairés pour leurs votes.

La première des questions envers les candidats : est-ce que la mise en œuvre d’un plan « autonomie » volontariste répondant aux besoins avec un calendrier, un budget est une priorité essentielle au même titre que peut-être l’entretien des routes, des collèges, de l’aménagement du territoire, du développement du numérique,… ?

Selon nous, des réponses concrètes de proximité doivent être apportées à toute personne concernée se trouvant sur le département afin de respecter l’exigence d’équité territoriale : sur des dispositifs d’accès aux droits, en matière d’établissements et de services diversifiés, en matière de logements adaptés et accessibles, en matière d’équipements et d’aménagements.

==> la suite de la lettre ouverte

10 propositions pour un département plus inclusif

Une centaine d'agents du secteur du social et du médico-social étaient dans les rues de Chartres, ce mercredi 2 juin, pour réclamer le même traitement que les médecins, infirmiers, agents hospitaliers et des Ehpad, à savoir une augmentation de 183 € obtenue dans le cadre des accords dits Ségur de la santé.

Pascal Marchand ne compte même plus le nombre de manifestations depuis novembre. Pour le syndicaliste, membre du bureau de Fo Santé 28, si la mobilisation a permis de faire intégrer progressivement des catégories d'agents qui avaient été exclues de la revalorisation salariale de 183 €...

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Les Accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) ont manifesté, ce jeudi 3 juin 2021, devant les services départementaux de l’Éducation nationale, à Chartres.

Après une première manifestation, le 8 avril 2021, les Accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) se sont à nouveau donné rendez-vous pour faire entendre leurs revendications, ce jeudi 3 juin, à Chartres. Ils réclament « un diplôme et un statut de fonctionnaire » pour leur mission d’accompagnement des élèves, dans leur parcours scolaire, explique Arnaud Cochard-Prier, délégué FSU 28. En moyenne, les 600 AESH d’Eure-et-Loir travaillent 24 heures par semaine pour moins de 800 € par mois. On est précarisés. »

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Vu dans l'Echo Républicain