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  • PENDANT L’EPIDEMIE DE COVID-19 : VOS MEDECINS RESTENT A VOTRE ECOUTE POUR TOUT AUTRE PROBLEME DE SANTE !

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    Depuis le début du confinement, de nombreux médecins libéraux constatent avec inquiétude une désaffection de leurs patients bénéficiant habituellement d’un suivi médical. Certains patients ne veulent en effet pas les déranger « inutilement », car ils les pensent débordés et pleinement absorbés par l’épidémie de COVID-19. D’autres craignent d’être contaminés en se rendant dans les cabinets médicaux ou d’être verbalisés au prétexte que leur motif de consultation ne serait pas jugé assez urgent dans le contexte de confinement imposé.

    L’Union Régionale des Professionnels de Santé Médecins Libéraux (URPS-ML) du Centre-Val de Loire et la délégation régionale France Assos Santé tiennent donc à rappeler qu’il ne faut pas confondre renoncement aux soins et report de soins. S’il est possible, dans le cadre de l’épidémie du Covid-19, non pas de renoncer à des soins, mais de les reporter, ce report ne doit cependant se faire qu’après en avoir reçu la confirmation par les médecins qui vous suivent habituellement.

    En cas de doute, il ne faut donc pas hésiter à demander un avis médical à son médecin généraliste et à tout autre médecin spécialiste qui vous suit habituellement, de façon à éviter tout retard de diagnostic ou toute aggravation d’un état de santé. Votre médecin pourra soit vous conseiller au téléphone, soit réaliser une téléconsultation remboursée à 100 % par l’Assurance maladie, soit vous proposer, si nécessaire, une consultation physique, en sachant que les médecins ont organisé leurs cabinets et consultations de façon à réduire au maximum le risque de contamination par le Covid-19.

    Donc, n’hésitez pas à appeler vos médecins habituels : vous ne les dérangerez pas, ils sont à votre écoute !

     

  • COVID 19 : APF France handicap a besoin de vous !

    Déjà isolées, les personnes en situation de handicap ont d'autant plus besoin de soutien en cette période de crise sanitaire ! C'est pourquoi, APF France handicap a mis en place un dispositif d’urgence afin de maintenir le lien social, d'assurer la coordination des soins et des aides humaines et d’éviter des situations critiques (isolement extrême, rupture des soins, de leurs droits, impossibilité de se nourrir, de se laver...). Mais, la situation reste alarmante !

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  • Covid-19 / Confinement : appel à témoignages APF France handicap

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    Nous lançons un appel à témoignages sur la façon dont est vécue la crise sanitaire actuelle par les acteurs de l’association : adhérent·e, bénévole APF France handicap, salarié·e en délégation/établissement/service médico-social / EA / Esat, usager·e.

    Ce recueil de témoignages se fait via un formulaire en ligne.

    Ils seront utilisés dans le cadre de la communication interne et externe de l'association.

    Ils pourront être exploités sous forme de verbatims (citation, prénom et statut uniquement), avec ou sans photo, de vidéos autofilmées pour celles et ceux qui l'acceptent et/ou pour mise en contact avec des journalistes (si accepté également).

    Si vous souhaitez faire un témoignage vidéo, une fiche pratique est à votre disposition.

    Nous vous remercions par avance pour le relais que vous pourrez en faire en interne et pour votre participation.

    Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : dircom@apf.asso.fr

  • Droit à un arrêt de travail si votre proche a une pathologie figurant sur la liste arrêtée par le Haut conseil de la santé publique.

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    La personne qui cohabite avec une personne vulnérable peut, en l’absence de solution de télétravail, solliciter son médecin traitant ou un médecin de ville, qui pourra prescrire un arrêt de travail s’il l’estime nécessaire. L’arrêt peut être prescrit jusqu’au 15 avril et est renouvelable tant que les consignes sanitaires sont maintenues.

    Vérité du jour n’est plus celle du lendemain, avec le coronavirus. Dimanche 5 avril encore, les proches de personnes à l’état de santé jugé fragile ne pouvaient bénéficier d’un arrêt de travail indemnisé. Faire-face.fr l’avait expliqué dans un article publié le 30 mars. Mais depuis ce lundi 6 avril, elles y ont droit, assure l’Assurance maladie. Sous conditions bien évidemment.

    Une liste de personnes à risque

    Ce proche doit faire partie de la liste des personnes à risque de développer une forme grave d’infection au Covid-19 (voir bas de la page 5 et page 6 de la note jointe), arrêtée par le Haut conseil de la santé publique :

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  • Dernière minute concernant l'obtention de masques pour les auxiliaires de vie ?

    Lisez bien les commentaires dans le document paru sous FAIRE FACE

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    « J’emploie directement des auxiliaires de vie. Jusqu’à présent, je n’ai pas réussi à me procurer des masques pour eux. Est-ce que les particuliers employeurs vont enfin avoir accès au stock national de masques ? »

    Trois semaines que dure le confinement. Et trois semaines que les particuliers employeurs handicapés courent après des masques chirurgicaux pour équiper leurs salariés. Comme Faire-face.fr l’a expliqué dans un précédent article, depuis le 17 mars, les aides à domicile figurent parmi la liste des professionnels pouvant bénéficier gratuitement du stock national. Mais, pénurie oblige, bien peu ont réussi à s’en procurer.

    De plus, le changement de stratégie intervenu le 27 mars n’a rien arrangé. Depuis cette date, les particuliers employeurs devaient s’approvisionner auprès de l’un des 135 groupements hospitaliers de territoire. Une contrainte supplémentaire.

    Un courriel de l’Urssaf envoyé à chaque aide à domicile

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  • Des masques pour les professionnels du soin et de l’accompagnement à domicile de toutes les personnes fragiles

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    Communiqué France Assos Santé – 8 avril 2020

    L’Union des Associations des Usagers de la Santé, France Assos Santé, lance un appel aux pouvoirs publics pour que les masques soient enfin délivrés à tout professionnel chargé d’une fonction d’aide et de soutien aux actes de la vie courante des personnes isolées en
    perte d’autonomie, qui ne pourraient vivre sans ces professionnels du maintien à domicile attachés à une association, une institution, avec un statut de salarié ou travailleur indépendant.
    Nul n’ignore que les personnes en situation de handicap et personnes âgées non autonomes, vivant seules et sans famille à proximité, ne pourraient subvenir à leurs besoins fondamentaux comme se nourrir, se laver, se soigner, prendre leur traitement ou se lever et verraient leur état de santé se dégrader ou mourraient dans l’isolement le plus complet.
    Nul n’ignore non plus que ces professionnels du soutien à domicile se déplaçant de maison en maison, circulent dans des espaces publics, font des courses de nourriture et de médicaments, et peuvent transporter le virus sans le savoir de différentes façons.

    De nombreux pharmaciens leur refusent ces masques alors que leur fonction est tout autant essentielle à la vie des personnes isolées et non autonomes, que celle des professionnels du soin.
    Pour toutes les personnes isolées et non autonomes, déjà fragiles, la privation de masques pour ces professionnels du maintien à domicile qui leur permettent de vivre, est une exposition au risque de COVID-19 qu’aucun responsable ne peut ignorer.

    C’est pourquoi, après avoir entendu Olivier Veran affirmer il y a deux jours, que les personnels des EHPAD devaient bénéficier de l’accès aux masques, France Assos Santé demande que ces professionnels du soin quotidien à domicile aussi indispensables que les professionnels du soin médical, et circulant en ville ou à la campagne de personne en personne, aient enfin un droit d’accès aux masques délivrés en pharmacie ou à un masque de fabrication artisanale en cas de refus persistant des pharmaciens dont une autorité donnerait enfin le modèle, faute de rien.

  • Plateforme Pandémie COVID 19 en Eure et Loir à destination des personnes handicapées isolées et vulnérables

    En concertation, l’ARS, la MDA et le Conseil départemental, dans le cadre de la période de crise sanitaire actuelle et afin de répondre au mieux aux personnes handicapés isolées et vulnérables, proposent une coordination via les directeurs des SAMSAH TC 28, SAMSAH APF, foyer de vie de Courville à l’entraide mutuelle et à la coopération.

    Cette organisation tient compte :

    - Des besoins nécessaires d’accueil et de visites à domicile

    - Du travail en partenariat entre professionnels de chaque service et établissement.

    Objectifs :

    - Répondre téléphoniquement aux personnes handicapées en difficulté

    - Se déplacer, si besoin pour évaluer, la situation des personnes

    - Compte tenu des contraintes sanitaires actuelles, prioriser le maintien de la personne à domicile si le dispositif de sécurité mis en place est jugé suffisant par l’équipe médicosociale.

    - Réorienter éventuellement vers une structure de répit, après avis médical impératif et respect de la procédure.

     

    Vous êtes en difficulté, appeler le 02 37 33 46 46 (numéro unique d’appel) de la Maison Départementale de l’Autonomie.

     

  • Les prestations sociales et familiales revalorisées

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    Certaines prestations versées par les Caf ont revalorisées le 1er Avril de + 0,3% pour tenir compte de l’inflation. Ces nouveaux montants seront versés aux allocataires dès le mois prochain.

    Quelques exemples :

    La Prime d’activité voit ses montants forfaitaires réévalués. Une personne seule sans enfant peut désormais percevoir jusqu’à 553,16 € à ce titre, et un couple sans enfant 829,74 €.

    Le RSA a quant à lui été revalorisé de +0,9%, par décret. Le montant forfaitaire pour un célibataire sans enfant atteint 564,78 €, 847,17 € pour un couple sans enfant.

    L’Allocation aux adultes handicapés s’élève au maximum à 902,70 €. Elle est versée aux plus de 20 ans dont le taux d’incapacité est d’au moins 50 %.

    La Prestation partagée d’éducation de l’enfant (PreParE) est revalorisée à 398,39 € en cas de cessation totale d’activité, à 257,54 € pour un mi-temps et à 148,57 € pour une durée de travail comprise entre 50 et 80 %.

    Le Complément de libre de choix du mode de garde (CMG), le montant maximum de remboursement des cotisations sociales pour l'embauche d'une garde à domicile est désormais de 459€ pour les enfants de moins de 3 ans, et de 230€ pour les 3-6 ans. Ce remboursement est maintenu à 100 % pour l'embauche d'un(e) assistant(e) maternel(le).

    Sont également concernées l’Allocation de rentrée scolaire (Ars), l’Allocation de présence parentale (Ajpp), l’Allocation d’éducation de l’enfant handicapé (Aeeh) et la Prime de déménagement.