Vu dans la Presse - Page 30

  • Interview sur radio intensité de Vincent sur la demande d'individualisation des assos sur la déconjugualisation de l'AAH

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    L'allocation adulte handicapé remise en question. Imaginez que l'on calcule votre salaire en fonction de celui de la personne avec laquelle vous êtes en couple, qu'on le baisse ou le supprime si il ou elle gagne trop, ce serait inacceptable. C'est pourtant de cette manière qu'est calculée cette allocation adulte handicapé, l'AAH.

    Vincent Simon est représentant départemental de l'APF France handicap. Il manifestera dans le cadre de cette journée de mobilisation nationale, ce jeudi donc à partir de 15 heures, devant le monument Jean-Moulin, à Chartres, à côté de la médiathèque. Il est pour la déconjugalisation de l'AAH. Une interview réalisée par Paul Guibal.

    Pour avoir le droit à cette allocation d'environ 900 euros, la personne doit avoir un taux d'incapacité de travail d'au moins 80 % ou se situer entre 50 et 80 % avec une restriction substantielle et durable d'accès à l'emploi. La CAF étudie ensuite la situation du demandeur handicapé. Si le conjoint gagne 1.126 euros net par mois, l'AAH commence à diminuer.

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  • APF France Handicap réclame de désolidariser l'Allocation Adulte Handicapé du revenu du conjoint

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    APF France Handicap d’Eure-et-Loir réclame la suppression de la prise en compte des revenus du ou de la conjointe dans le calcul de l’Allocation adultes handicapés. Des rassemblements et des actions auront lieu à Chartres ce jeudi 16 septembre, à l'initiative d'une vingtaine d'associations, pour défendre cette cause.

    « C’est une injustice », s’indigne Vincent Simon. Le président de la délégation eurélienne de l'Association des paralysés de France (APF) appelle à un rassemblement, jeudi 16 septembre, à 15 heures, sur l'esplanade de la Résistance, devant le monument Jean Moulin, (près de la place des Épars à Chartres), pour réclamer la déconjugalisation de l'Allocation adultes handicapés (AAH). Cette mobilisation, Chartres, s'inscrit dans un mouvement national lancé par le collectif Handicaps qui rassemblent une vingtaine d'associations.

    ==> suite de l'article de l'Echo Républicain

  • Aide à domicile : la hausse des salaires va-t-elle entraîner celle du reste à charge ?

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    À partir du 1er octobre, les salaires vont fortement augmenter dans les services associatifs d’aide à domicile. Pour éviter que cela n’entraîne une hausse des prix, et donc du reste à charge des usagers handicapés, l’État va financer la moitié de la facture. Il appelle les départements à en faire autant.

    Champagne ? N’exagérons rien quand même. Mais la rémunération des salariés des services d’aide et d’accompagnement à domicile, les Saad, va bel et bien augmenter en octobre*. De 13 à 15 %, en moyenne.

    Un titulaire du diplôme d’État accompagnant éducatif et social démarrera désormais sa carrière avec un salaire de 1 892 € bruts par mois pour un temps plein. C’est 300 € (+ 19 %) de plus qu’aujourd’hui, selon le ministère des Solidarités. Pour un salarié sans diplôme ni ancienneté, le coup de pouce sera toutefois plus limité : + 33 € (+ 2 %).

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  • Le 3919 pour les femmes victimes de violence accessible 24h/24 et et 7 jours sur 7

    I3521.pngChantage, humiliation, injures, coups... Les femmes victimes de violences peuvent contacter le 3919. Gratuit et anonyme, ce numéro de téléphone est désormais accessible 24h/24 et 7 jours sur 7. La plateforme d'écoute des victimes de violences conjugales, sexistes et sexuelles est donc joignable sans interruption depuis le 30 août 2021.

    Le 3919 Violence Femmes Info constitue le numéro national de référence pour les femmes victimes de violences (conjugales, sexuelles, psychologiques, mariages forcés, mutilations sexuelles, harcèlement...). Il propose une écoute, il informe et il oriente vers des dispositifs d'accompagnement et de prise en charge. Ce numéro garantit l'anonymat des personnes appelantes mais n'est pas un numéro d'urgence comme le 17 par exemple qui permet pour sa part, en cas de danger immédiat, de téléphoner à la police ou la gendarmerie.

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  • Un numéro d'urgence pour les élèves en situation de handicap privés de transports scolaires

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    Depuis la rentrée, plusieurs familles d’enfants en situation de handicap sont sans nouvelles de la société chargée d’effectuer les transports scolaires. Le Conseil départemental d'Eure-et-Loir affirme "examiner toutes les solutions".

    Il ne décolère pas. Lionel Gugliermini, habitant de Gommerville, père d’Ewan, 10 ans, et Elen, 11 ans, deux enfants se déplaçant en fauteuil roulant, n’a pu compter que sur sa journée de repos pour conduire son fils à l’école de Châtenay, et sa fille au collège de Toury.

    Depuis la rentrée, il est sans nouvelles, comme de nombreux autres parents, de la société chargée du transport scolaire de leurs enfants.

    ==> suite de l'article de l'Echo Républicain

  • Les accompagnants d’enfants en situation de handicap (AESH) souhaitent voir leur métiér et leurs compétences recnnues

    2000005610000.jpgPour Sandrine Leclerc, accompagnante d’enfants en situation de handicap (AESH) au collège de Brezolles et représentante des AESH à la FSU 28, il y a encore des progrès à faire du côté de l’Éducation nationale pour donner à ce métier toute la place qu’il mérite au sein de l’institution scolaire. 

    Sandrine Leclerc reconnaît volontiers un « bon dialogue social avec les services académiques de l’Eure-et-Loir » : « On sent une volonté du Service de l’école inclusive d’augmenter les contrats des gens en place » et « de l’académie d’harmoniser les contrats », qui étaient gérés jusqu’ici par deux gestionnaires différents, ce qui occasionnaient des incohérences. Selon elle, ce qui manque aux AESH, ce sont « des avancées au niveau national ».

    ==> suite le l'article de l'Echo Républicain

  • Convention ONU : APF France handicap appelle l’État français à rattraper son retard

    convention-handicap-ONU.jpgLes 18, 20 et 23 août 2021, le Comité des Droits des Personnes Handicapées des Nations unies interrogera la France sur les mesures prises pour respecter la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH).

    Composé d'experts indépendants, pour la grande majorité en situation de handicap, issus des cinq continents, le Comité des droits de l’ONU est chargé de surveiller l'application de la Convention par les Etats parties. Il tient deux sessions par an. C'est la première fois que la France est auditionnée par l'ONU depuis qu'elle a ratifié la Convention en 2010.

    En ratifiant la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations unies, l’Etat français s’est engagé « à garantir et à promouvoir le plein exercice de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales de toutes les personnes handicapées sans discrimination d’aucune sorte fondée sur le handicap ».

    Or force est de constater qu’au quotidien, des personnes en situation de handicap sont empêchées de travailler, d’avoir accès à des soins adaptés, à des accompagnements de qualité, de suivre une scolarisation adaptée, d’étudier, de se rendre dans des lieux ouverts aux publics, de se loger, d’avoir accès aux moyens de compensation adéquats, etc.  

    En lien avec le Collectif Handicaps et le CFHE (dont APF France handicap est membre fondateur et qui est chargé de porter les attentes et constats des acteurs associatifs concernant la mise en œuvre de la CDPH auprès des membres du Comité des droits), APF France handicap estime que des prérequis sont indispensables pour une application pleine et entière de la Convention et rappelle que pour atteindre l’horizon d’une société inclusive et afin de renforcer le pouvoir d’agir et de choisir des personnes, les politiques publiques doivent :

    - rendre accessibles les services y compris numériques, les équipements, l’information, les bâtiments publics à tous les types de handicap selon les principes de la conception universelle (Article 2 de la Convention) ;

    - permettre aux personnes en situation de handicap et à leur famille de disposer de ressources et de moyens de compensation suffisants pour vivre de manière indépendante au-dessus du seuil de pauvreté (Article 28 de la Convention) ;

    - offrir un choix effectif et une gamme de services d’accompagnement et d’appui de qualité en nombre suffisant, pour les personnes en situation de handicap, leur famille et proches aidants (Article 19 de la Convention).

    A l’issue de l'audition de la France, en septembre 2021, le Comité des Droits des personnes handicapées rendra son avis et ses recommandations sur l’application de la Convention par la France et établira si celle-ci a su remplir ses engagements. APF France handicap y sera très attentif.

    Pour suivre en direct l’audition de la France les 18, 20 et 23 août 2021 (de 12h30 à 14h30) : https://media.un.org/en/webtv

  • APF France handicap reprend Wheeliz pour favoriser l’accès à la mobilité pour tous !

     

    wheeliz.jpgWheeliz, plateforme digitale collaborative permettant aux personnes à mobilité réduite de trouver un véhicule adapté partout en France, rejoint APF France handicap !

    Dans le cadre de sa mission d’insertion sociale et professionnelle durable des personnes en situation de handicap, le réseau d’entreprises d’APF France handicap accompagne les startup engagées dans le champ de l’innovation liée au handicap et à l’inclusion. Avec l’intégration de Wheeliz, APF France handicap franchit une nouvelle étape dans son action en faveur du droit à la mobilité pour tous.​​​​​​​

    Une réponse à un besoin concret de mobilité adaptée

    Créée en 2015 par Rémi Janot et Charlotte de Vilmorin, elle-même en fauteuil électrique, la start-up s’est attaquée très tôt au manque de solution de mobilité pour le million de français qui se déplacent en fauteuil en raison d’un handicap ou de l’âge.

    La plateforme met en relation propriétaires et locataires afin de faciliter leurs déplacements. Avec plus de 1 500 voitures partout en France, à partir de 45€/jour assurance tous risque incluse, simplifiez vos week-ends et vos vacances.

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